Em pleno período de eleições legislativas, des informations font état d’une attaque informatique sur le site du Parlement portugais. L’Assemblée de la République enquête sur ce qui s’est passé, car l’attaque a été annoncée par les pirates du groupe Lapsu$.
Selon les informations du Bureau de la Communication de l’Assemblée de la République, jusqu’à présent « il n’y an aucune preuve » que l’attaque informatique ait eu lieu.
Il n’y aucune preuve que le site Web du Parlement ait été attaqué… mais il est en panne
Contacte par l’agence Lusa, le directeur du bureau des Communications de l’Assemblée de la République, João Amaral, a déclaré qu’ »il n’y a actuellement aucune preuve que le site a été attaqué », mais que le service informatique « prend toutes les mesures nécessaires». « des outils pour le savoir ».
As informações do grupo de pirataria Lapsu$ ont été publiées sur les raidforums, où ce qui suit est mentionné…
Aujourd’hui, nous avons « pirata » le site Web du Parlement et avons eu acesso às aplicações Microsoft e uma grande quantidade de bases de données qui contiennent des informations gouvernementales sensibles liées aux informations desiens partles de bre nompolis documentos, e-mails , mots de passe…
Os piratas têm acesso a mais de 300 aplicativos Microsoft IIS, API SOAP, DLL e outras bases de dados, e incluem MSSQL, Oracle Managed Data (outrouvent les informations gouvernementales).
O site Internet du Parlement est actuellement hors service. O grupo de hackers exige US$ 15.000 em bitcoins para o ranço de informações.
João Amaral a égallement déclaré à l’agence de presse Lusa que toutes les information on the site Internet du parlement portugais «sont publiques et transparentes».
O grupo de piratas pretende que o volé de informações sobre o site Web du parlement portugais seja o même qui attaqué Grupo Impresa au début du mois, destruidor de milhões de fichiers d’Expresso et de SIC.
L’agence de Lusa contacte la Police Judiciaire pour obtenir plus d’informations, to savoir si l’affaire fait déjà l’objet d’une enquête, mais n’a jusqu’à présent pas reçu de réponse.