Ce capteur, au niveau de la quille du bateau, se présente sous la forme d’un caisson contenant trois filtres destinés to collecter quotidiennement des microplstiques de différentes tails sous réserve que les conditions météent le. Un investissement lourd: c’est une centaine de milliers d’euros dépensés et une cinquantaine de kilos de material scientifique lui pompe 15% d’energie à bord.
C’est la que les scientifiques d’Epoc (Environnements et paléoenvironnements océaniques et continentaux) et du CBMN (Chimie et biologie des membranas et des nano-objets) entrent dans le jeu. Depuis deux ans, l’université de Bordeaux, en partenariat avec l’Ifremer et l’Institut de recherche pour le développement, s’est association au browserur pour mener des travaux de recherche sur la poluição dos oceanos por microplastiques.
« On cherche à connaître les additifs »
« On ne connaît rien de la composição des plásticos. En soit, ce n’est pas le polymère qui est dangereux mais plutôt les additifs et les poluentes. On cherche à les connaître. Ils sont toxiques, et ils fuitent vite dans l’eau, puis dans le tube digestif desorganes qui les ont absorbés. Ce qui peut provoquer des perturbations endocriniennes, des tumeurs cancérigènes. Tout cela, il faut le vérifier, le démontrer », explique Jérôme Cachot, professeur des universités en ecotoxicologie aquatique. C’est pour cela qu’au quotidien, une équipe d’une dizaine de personnes trie et class le materiel reccolté por Fabrice Amedeo. 53 échantillons sur 120 ont déjà été traités.
« On ne connaît rien de la composição des plásticos »
Mais la tâche est ardue, le travail de tri et d’analyse lent, d’une extrême minutie. C’est ce que le skippper est venu voir à l’Université de Bordeaux, justement, troquant le temps d’une journée son ciré pour une blanche. Carro le tri se fait sur trois tamis de 300, 100 e 30 mícrons. On est dans l’infiniment petit. Et tout se fait à la main et à l’œil.
Le compte rendu d’études n’est pas encore public, mais une choose est sûre. 63 % du contenu de chaque tamis contenait au moins un plastic. C’est une moyenne de deux plastics par mètre cube récupéré.
« L’objectif est maitenant de cartógrafo les océans Indien et Pacifique »
« O material coletado nas zonas recuadas vai nous auxiliar ao cartógrafo do conteúdo das águas de superfície dos oceanos, de determinar a natureza das microplásticas e sua toxicidade, de compreender o vieillissement des plastiques por uma colonização no meio. C’est un gros challenge», insiste le professeur.
Si les échantillons prélevés par le skipper ont permis de faire un premier état des lieux, surtout dans l’océan Atlantique. L’objectif du service d’ecotoxicologie aquatique serait maintenant de cartógrafo les océans Indien et Pacifique. Ça tombe bien, Fabrice Amedeo est décidé à repartir, il prepara actuellement ses prochaines courses, la Transat Jacques-Vabre em 200 jours et le Vendée Globe en 2024.