Les astronomes australiens ont descovert un astre étrange dans la Voie lactée, qui émet un rayonnement éelectromagnétique a un rythme habituellement long : cette trouvaille ouvre la voie à du un nociuvel.
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Des astrônomos australianos no annoncé cette semaine, na revista Nature, a detecção de um «objeto» (astre), situé a environ 4.000 années-lumière de la Terre, qui émet un fort signal radio toutes les 18,18 minutes. Um período anormalment longue, jamais observée jusqu’à presente. «C’est un objet habituel», remarque sobrement le radioastronome Ismaël Cognard, du Centre national de la Recherche Scientifique (CNRS) français.
Les astrônomos connaissent bien les astres qui émettent des ondes electromagnétiques régulières, mais avec des «périodes» beaucoup plus courtes.
Les plus nombreux, les pulsars – un gênero d’étoile à neutrons extrêmement compacte – tournent sur eux-mêmes de façon ultra-rápido, en émettant, comme un phare, un rayonnement régulier sur une período allant de quelques second. Une autre “espèce” d’étoile à neutron, beaucoup plus rare, le magnétar, va jusqu’à la dizaine de seconds.
L’équipe menée par Natasha Hurley-Walker, da l’Université Curtin, na Austrália, é uma eu l’idée de fouiller les données recueillies por un radiotelescope basses frequences géant no l’Outback australiano, le Murchison. Il observar ce gênero d’objets, en cherchant des signaux émis à une período plus longue que d’ordinaire.
C’est un jeune thésard qui a entamé le chantier … et trouvé cet «objet».
Une démarche ardue “parce que c’est Techniquement très difficile et très coûteux en termes de calcul”, souligne auprès de l’AFP Fabian Schüssler, astrofísica au Comariat à l’energie atomique. Les radiotelescopes produisent des montagnes de données qui nécessitent des algoritmos et des puissances de calcul elevées pour obter um resultado.
«C’est un bon exemple d’une découverte qui s’effectue quand on cherche dans un espace de paramètres inexplorés», ajoute Fabian Schüssler. Autrement dit, quand on concerne là où l’on n’a pas l’habitude ou les moyens de le faire.
L’existence de cet object avait été prédite par la théorie, note a astrofísica Natasha Hurley-Walker. Il s’agirait d’un magnétar ao período ultra-longue, une sort d’étoile à neutrons tournant très lentement sur elle-même.
Uma hipótese “possível” selon Fabian Schüssler, carro “em sait que la rotation d’une étoile à neutrons va ralentir au fur et à mesure de son existência”. Comme une toupie tournant de plus en plus lentement.
Ce qui pose un outro problema. L’astrophysicienne australienne noté en effet que l’objet observé «ne devrait pas avoir suffisamment d’energie pour produire ce type d’onde radio toutes les 18 minutes».
Ou son émission est très brillante, ce qui ne colle pas avec un «objet qui tourne plus lentement et devrait donc avoir une emission beaucoup plus faible, au point de devenir indétectable», selon l’astrophysicien àtom a Commissénergiet
Le signal a été inregistré sur une periodo de trois mois, début 2018. L’objet n’a pas disparu, même si on ne détecte plus son signal désormais.
Ismaël Cognard, du CNRS, s’appuie sur une théorie pour explicar la force de l’émission enregistrée : «Certains magnétars ont des périodes d’émission très brillantes. Ao começar a imaginar qu’il ya des craquements dans l’equivalent de la croute du magnétar, qui influenceraient son champ magnétique, en boostant l’émission» registrado.
L’objet mystérieux détecté existe-t-il toujours? «Oui!», responde ao astrônomo. Il est devenu indetectable, mais la chasse est ouverte pour trouver ses congénères.